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Il y a comme un problème...
11 août 2021

Sars-CoV-2 : des questions qui méritent une réponse

     Des tiers concernés affirment que les essais cliniques mis en place pour valider (éventuellement) des traitements, en préventif et/ou en curatif, contre le Sars-CoV-2 ont été sciemment sabotés. Soit en faisant le choix d'un public-cible non adapté ou d'une mise en oeuvre non pertinente, ce qui traduit déjà une vraie malhonnêteté intellectuelle ;  soit en adoptant des posologies anormales, pourtant contre-indiquées par les fabricants des médicaments concernés, quitte à administrer des doses toxiques, voire potentiellement mortelles à des patients déjà fragilisés, ce qui serait alors un comportement criminel.

     Il faut rappeler ici que toute substance, directement issue de la Nature ou bien manipulée par le génie anthropique, peut se révéler, "en même temps", ou plutôt tour à tour, bénéfique ou néfaste pour la santé. Car, d'une manière générale, c'est moins sa qualité chimique intrinsèque qui compte, que la dose qui est administrée. Ainsi, le curare est-il un poison mortel qui s'avère, à très faible dose, un anesthésique très précieux dans la pharmacopée ; ainsi, l'aspirine - le médicament sans doute le plus consommé au monde - constitue-t-elle une arme redoutable - et à la portée de toutes les bourses - pour tuer son conjoint, puisque ce miracle contre les fièvres passagères devient létal à forte dose. S'il est sans doute illusoire d'espérer en l'existence d'un produit anti-Covid miraculeux, connu depuis des lustres pour soigner autre chose, il serait fort étonnant qu'aucune molécule anti-virale, seule ou associée à d'autres, ne soit pas en mesure de préserver ou de soigner les organismes humains d'une maladie somme toute "classique" et peu létale. Encore faut-il avoir la volonté de la chercher et toute l'objectivité requise pour la tester !   

     Si ces accusations sont avérées, cela signifie que certains cercles - qu'ils soient scientifiques, économiques et/ou gouvernementaux - ont fait le choix de dénier aux médecins de première et de deuxième lignes le droit et/ou la possibilité de prendre des patients en charge de manière satisfaisante et/ou adaptée, quitte à entraîner une surmortalité parmi ces derniers. La seule question qui se poserait alors est : pourquoi ?

     Pourquoi dénigrer, par des procédés déloyaux, des médicaments disponibles sur étagères à moindre coût ? N'est-ce qu'une question de profit ? Le fait de vouloir privilégier, à tous crins, un processus vaccinal - qui, déjà, prend la forme d'une fructueuse rente viagère - cache-t-il une sournoise entreprise bien plus vaste, à but mercantile ou autre ? Le seul fait de s'interroger de la sorte vous affuble immédiatement d'une accusation de complotiste qui dispense les revues scientifiques, les autorités de santé et les gouvernants de répondre, sur le fond, de certaines prises de décision ou de certains actes malveillants qu'ils ont, au choix, couverts, relayés, encouragés ou diligentés.

     Si une telle question se pose, c'est bien parce que, à la base il peut y avoir débat ! Que rien n'est clair dans cette gestion de l'épidémie, et d'abord dans le secret couvrant les accords entre l'UE et les laboratoires pharmaceutiques ! Ou dans cette commande "Pfizer" de la Commission de Bruxelles se montant à un milliard et demi de doses supplémentaires pour une population européenne de 500 millions d'âmes. Trois injections à suivre donc pour chacun de nous, sans compter celles déjà effectuées à ce jour ! Il n'est, humainement, pas compréhensible que le bon sens ait, à ce point, déserté une place publique, uniquement formatée par des discours de terreur !

     Sous couvert de "science", ce gros mot lâché à tous bouts du champ médiatique pour mieux masquer un point de vue qui est d'abord idéologique, on abreuve le bon peuple de chiffres et de courbes supposés servir un discours, alarmiste, la plupart du temps. Or, on peut faire dire tout et son contraire à des données, brutes ou révisées, compilées ou pas. A partir des mêmes études et des mêmes statistiques, chacun accouche de sa modélisation, laquelle est à ce point discutable qu'elle diffère d'une autre - tout aussi "sérieuse" -  d'un facteur 2, 5,10, 20 ou 50. Rappelez-vous les "9.000 personnes" supposées faire croûler les services de réanimation "quoi qu'il arrive dans 3 semaines", aux dires de l'épidémiologiste-en-chef Macron ! Le pic d'alors fut inférieur à 5.000 ! Rappelez-vous le chiffre des 400.000 décès, pronostiqué lors de la 1ère vague ! Que les projections catastrophistes, Pasteur et autres, s'apparentent finalement à une farce - macabre - ne change rien au fait que chaque nouvelle prédiction est prise pour argent comptant ! Un jour peut-être, ce pire excessif s'avérera. Et cela devrait alors absoudre toutes les erreurs précédentes pour autant ?! Désormais la science médicale est contrainte dans des modèles mathématiques qui, de facto, la prive de ce qui fait l'art-même du grand professionnel de santé : l'expérience, l'intuition et le pragmatisme. 

     Le Sars-CoV-2 pose un vrai problème ; mais peut-être n'est-il pas là où l'on pense généralement. Car le connait-on vraiment ? 

     Pour une fois sur ce blog, je vais me permettre d'abandonner brièvement la seule lecture analytique des faits pour vous livrer une anecdote personnelle, en toute subjectivité. Si la vie commence vraiment à 60 ans, selon la chanson, il me reste alors encore quelques années à passer dans les limbes avant de naître. J'ajoute que, depuis que j'ai atteint l'âge adulte, mon système immunitaire s'est montré suffisamment sympathique à mon égard pour m'éviter les visites régulières chez le médecin généraliste. A peine quelques rhumes et autant de maux de gorge qui m'en ont largement dispensé. Pourtant, il se trouve qu'à la fin du mois de décembre 2018, j'ai connu quelques jours un peu compliqués. A cette date, je vivais au Japon, et de ce que j'ai pu lire et entendre des symptômes respiratoires de la Covid-19, j'ai, avec le recul, l'impression d'avoir été confronté au Sars-CoV-2 avant sa découverte officielle... une année plus tard ! Quatre jours de fièvre, avec une capacité respiratoire limitée et une fatigue inédite. Plus deux grosses semaines à suivre pour recouvrer la pleine santé. Une "drôle de grippe" donc qui avait affecté mon épouse quelques jours avant, avec les mêmes symptômes et les mêmes conséquences. Quel bonheur que le mariage qui permet de tout partager à deux !!

     A l'époque, le côté inédit de ce syndrome grippal nous avait, tous deux, quelque peu surpris. Sans chercher plus avant. Aujourd'hui, je me dis que les chercheurs seraient bien inspirés de se pencher sur un phénomène qui, en 2018, a dû affecter le Japon pour partie, la Chine sans doute, et d'autres pays du continent asiatique, pourquoi pas ? Parce qu'en toute subjectivité, j'y vois, a posteriori, soit un ballon d'essai pour la pandémie actuelle (version complotiste), soit une indication que le coronavirus apparu en octobre 2019 est en réalité le "variant" d'une souche millésimée 2018, laquelle a diffusé à bas bruit. De quoi nous alarmer sur les failles du système mondial de vigilance sanitaire quand on sait que le nombre de virus va exploser avec la déforestation des forêts primaires et le dégel du permafrost, notamment !  De quoi nous inciter à être bien mieux préparé et équipé quand une pandémie beaucoup plus mortifère surviendra. 

     Pour la France, une chose est déjà certaine : avec le général en chef Macron en poste, le fantôme Castex "en responsabilité", son ministre-ès-mensonge Véran et le millefeuille administratif du ministère de la Santé aux manettes, la bataille suivante est assurément perdue d'avance !      

 

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